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ELLEN EST UNE TCHOIN

Roman Mayers
Crédits : MORPHINE.
Récits : 34





Roman Mayers
Fenrir
Délivré le Mer 21 Aoû - 17:07
Roman Mayers
feat.  Charlie Hunnam
  • 163 ans
  • Français
  • Fenrir en perdition
  • Hétérosexuel
  • Créature mystique
  • tonton beauf
Caractère
Roman est un homme imprévisible, même s'il peut être diplomate et compréhensif la plupart du temps il réagit au quart de tour, il ne réfléchit qu'après avoir agit. Il a apprit à se sociabiliser avec d'autres Fenrirs car son côté chaleureux et humain lui donne cet avantage ce qui n'est pas vraiment le cas de ses semblables très habitué à ne vivre qu'entre eux pour garder au mieux leur secret, mais étant donné la situation un peu particulière du français, il a pu acquérir un certain bagout. Ses origines mystiques n'ont pas manqué de lui donner ce côté insouciant et irresponsable : il ne s'est jamais engagé dans une relation amoureuse ça lui demandait trop d'investissement et il ne veut pas s'emprisonner dans un traquenard trop stricte. Il prend beaucoup de risque pour sauver sa vie et celles des autres ce qui est un paradoxe en soi mais, il fonce tête baissé. Il est ironque et sarcastique, souvent qualifiée de tête brûlée, mais ça lui va plutôt bien avec une bière à la main.



Biographie

Revenons quelques temps en arrière, en l’an 1856 Roman n’était pas encore né mais sa mère était déjà enceinte de quelques semaines et ignorait encore qu’elle portait la vie en elle. Son amant avait lâchement déserté il y avait quelques jours comme à chaque fois qu’il repartait à la vie à laquelle il était destinée, celle qui n’incluait pas la mère de Roman. Son père était l’héritier d’une lignée royale de Fenrir, celle qui possédait beaucoup d’argent et de terres, il devait se marier à une noble qui était Fenrir également mais il n'éprouvait aucun amour pour elle comme pour la mère de Roman.
Bien sûr, elle n’en savait rien, elle croyait bêtement à l’amour d’un homme qui avait du pouvoir enfin ça, c’était avant qu’il apprenne qu’elle était enceinte. La mère de Roman pensait que cela aurait pu le décider à quitter sa vie et à faire la sienne avec elle mais, il est parti et cette fois-ci pour de bon.
La mère de Roman avait pendant sa grossesse était victime d’un isolement total, elle ne mangeait plus et mettait dangereusement sa vie en danger. Sa famille l’avait lâchement renié, laissé à son propre sort puisque avoir un enfant sans être marié était la source de beaucoup de tabous et, l'enfant qu'elle porterait serait alors illégitime. La mère de Roman n’était pas taillé pour un avenir seule, elle ne pouvait pas faire ça à tout ça seule. Ça, c’était jusqu’à ce que, un soir elle s’arrête dans une auberge et que quelques filles qui faisait office de prostituées (plus servit sous le terme de ‘ plaisir annexes’ de l’auberge) la voit, elle et son ventre proéminent. Elle était proche du terme mais semblait plus proche de la mort qu’autre chose. Bien sûr aucune d’elles n'avaient connaissance de Fenrir ou d’espèce surnaturelle. Prise de compassion, elles recueillirent la jeune femme mourante, elle ne savait pas vraiment comment elle pouvait tenir debout mais elle tenu bon jusqu’au jour du terme. Elles avaient vu, à quel point elle avait déchiré de toutes part pour cette accouchement elle l’avait même cru morte pendant les premières heures jusqu'à, ce que subitement elle disparu laissant son bébé à un bordel puisqu’il fallait appeler un chat, un chat.
Les premiers jours, l’enfant avait été caché dans une chambre très peu fréquentés par les demoiselles, mais à vrai dire le propriétaire et le tenant des affaires n’avaient pas tardé à découvrir la supercherie. Toutes sans exception avaient suppliés pour qu’ils puissent le garder, et le propriétaire leur avait répondu “ C’est hors de question, de toute façon il n’a même pas de prénom “ ce à quoi, l’une d’entre elles, celle qui deviendrait la ‘ grande soeur ‘ attitrée “ Il s’appelle Roman, c’est comme ça que je l’ai appelé. “ finalement le propriétaire avait finit par accepter, à la condition qu’elle s’en occupe.Toutes s’en était occupé, mais plus particulièrement Lena, qui avait perdu son enfant quelques années avant. Roman aurait été le nom qu’elle aurait donné si son enfant avait été un garçon, c’est donc tout naturellement qu’elle s’en occupait comme si c’était le sien.
Ce qu’elle ignorait en revanche c’était la nature de cet enfant puisque même si les premières années de sa vie il n’était pas différent des autres enfants, c’est plus tard, à l’âge de quatre ans que Lena constata quelques...différences. Roman pouvait sentir de l’autre bout de la rue le plat que Léna lui faisait, ou si elle se coupait il pouvait dire à quel endroit sans même le voir. Il comprenait vite, il était rapide, et devenait étonnamment fort pour son âge. Léna n’avait pas mit longtemps à comprendre qu’il n’était pas comme les autres enfants et que sa mère n’avait pas miraculeusement survécu mais que c’était dû à autre chose.
Roman passait le plus clair de son temps à jouer avec d’autres enfants, il était plus grand, plus fort plus rapide que les autres, aucun enfant ne voulait se frotter à lui.
L’auberge dans laquelle il vivait entourés de ces ‘ soeurs ‘ voyait passer beaucoup de personnes et notamment beaucoup d’hommes. Bien souvent, c’était le propriétaire qui se chargeait de refouler ceux qui se montrait trop gourmand, trop affectueux ou bien trop violent.
Pendant bien des années Roman ne s’était jamais mêlé de ces affaires-là, Léna avait toujours tenu à ce qui ne soit pas associé à son monde. Au fond d’elle, elle savait qu’il serait bien plus que l’enfant d’une prostituée, elle voulait le meilleur pour lui et se comportait comme une mère avec lui, à chaque fois qu’il se comportait mal c’était elle qui avait la charge de le punir, de l’aider également mais aussi de le défendre car plus les années passaient plus le propriétaire doutait de l’utilité de Roman ici. Un enfant dans une auberge qui ne ramenait rien, ne travaillait pas et coûtait plus qu’il ne pouvait rapporter. Léna avait toujours payé aider par ces autres femmes et n’avait jamais rien réclamé qu’en échange qu’il puisse vivre ici.
La puberté de Roman ne se passait pas aussi bien que les autres de son âge, à vrai dire Léna n’avait jamais vu ça nul part puisque a la première pleine lune de sa puberté, les yeux de Roman s’était assombri, sa mâchoire aurait pu découper un homme en deux et ses mains, ses horribles griffes qui lui étaient poussés. Roman se savait comment gérer ce problème, il ne contrôlait rien et, avait même réussi à terroriser Léna. Il lui avait fallu quelques jours avant qu’elle ne puisse à nouveau s’en approcher et comprendre par la suite que Roman ne lui ferait aucun mal, car malgré sa forme spéciale il n’avait pas essayé d’atteindre à sa vie. Il était même venu la chercher en pleine nuit pour qu’elle puisse l'aider mais elle n’avait aucune idée de ce qui se passait.
Dans le but de trouver des réponses, Léna était parti quelques semaines de l’auberge faisant promettre à toutes les filles de ne pas le laisser sans surveillance, elles avaient toutes promis mais ça n’avait pas suffit… puisqu’un soir, un homme qui avait sûrement dû abuser un peu trop de l'alcool et de raison s’en était pris à une des filles. Roman n’était pas sorti ce soir là puisque Léna lui avait interdit, il avait donc entendu l’homme monter le ton, et les coups qui lui avait donné enfin.. jusqu’à ce que Roman intervienne fou de rage.
Il ne s’était même pas rendu compte que ses yeux étaient devenus aussi noir que les ténèbres et qu’il était plus proche d’un monstre que d’un homme. Ce n’est qu’une fois l’homme découpé en plusieurs morceaux qu’il avait réalisé à quel point il était dangereux, et à la manière dont sa sœur la regardait, c’était ça le plus douloureux.
Elle l’avait dévisagé, hésitant entre crier et le remercier pour lui avoir sauver la vie, Roman lui ne sachant pas s’il devait se reculer ou s’avancer pour la rassurer, mais c’est une toute autre réaction qu’elle a eu… , comme Léna elle a décidé de se taire et à remercier Roman de l’avoir débarrasser de ce type. Il ne comprenait pas vraiment ce qui poussait ces deux femmes à ne pas le dénoncer, lui dire qu’il était une affreuse bête, monstrueuse, plus tard il avait compris que c’était parce qu’elles le connaissait, elles savaient qu’il avait un bon fond et qu’il ne représentait en rien une bête atroce et méchante, mais un homme qui voulait simplement se défendre ou qui cherchait à comprendre ce qui lui arrivait.
Lorsque Léna était revenue, les amis sur lesquelles elle comptait pour l’aider n’avait pas de réponse, aucune à lui fournir, personne ne connaissait un tel phénomène et Roman avait secrètement nourrit l’espoir qu’elle revienne un peu plus que ‘ rien ‘... . Leur secret était cependant bien gardé, personne n’avait découvert la vraie nature de Roman bien que toutes les filles avaient été mise au courant pour des raisons évidentes : elles auraient finies par l’apprendre un jour où l’autre. Seul le propriétaire n’avait pas été mis à la page et il valait mieux, vu qu’il ne portait pas Roman dans son coeur. Ce secret était bien gardé, enfin ça c’était jusqu’au jour où un meurtrier qui sévissait dans la région avait déjà tué plus d’une trentaine de personne, on soupçonnait les hommes seuls, les inconnus, ceux sans attache particulièrement et Roman bien qu’âgé de seulement dix huit ans était l’un de ces suspects c’était le propriétaire de l’auberge qui s’était chargé de donné son nom aux autorités ne sachant que trop peu ce qu’il faisait de ses journées, bien que Roman lui ramenait souvent de l’argent volé, n’ayant pas vraiment d’autre qualification que celle de devenir voleur il reversait une partie au propriétaire puisque Léna lui avait demandé de le faire pour qu’il le laisse tranquille mais même avec ça, il n’avait pas été convaincu.
Le meurtrier avait été identifié où du moins quelqu’un pensait l’avoir vu, au détour d’une rue et le portrait ressemblait en tout point à celui de Roman, étrangement. Quelques heures plus tard, les autorités avaient débarqués pour se saisir du jeune homme mais tout ne s’était pas passé comme prévu… Roman s’était défendu et pas à demi mesure, les cinq hommes qui étaient venus l’arrêter avaient tous finis inconscient, projeter à divers endroit de la pièce sous le regard stupéfait du propriétaire de l’auberge, l’imbécile s’était approché de Roman en lui hurlant dessus qu’il était persuadé que c’était lui et, Roman avait littéralement montrer les dents, ce qui avait refroidi ses ardeurs...jusqu’à ce qu’il aille lui même chercher les autorités. “ Tu dois fuir “ lui dit Léna en le prenant par le bras pour l’emmener à l’étage pour qu’il puisse récupérer quelques affaires. “ Léna, je t’assure que je n’ai rien fait, je te le jure. “ lui dit-elle, ce qui eu pour effet de l’arrêter dans sa course, de se tourner vers ce qu’elle considérait comme son fils, glisser ses mains sur ses joues, et sa tête levé vers lui, il était grand, plus grand qu’elle maintenant et elle se souvenait encore du temps où il n’était qu’un bébé. “ Jamais, je ne t’ai cru coupable Roman, tu m’entends, jamais. Cet homme qu’importe qui il soit, ce n’est pas toi. Je sais que tu es quelqu’un de bien, mais tu dois t’en aller. Si jamais on apprend ce que tu es, ils te tueront, ils trouveront le moyen de te faire souffrir et ça, Roman je ne pourrais pas le supporter. “ dit-elle en laissant couler une larme de ses yeux, le jeune homme blond posa son front contre le sien rassuré et soulagé de savoir qu’elle au moins ne le croyait pas coupable.
Ils se hâtèrent jusqu’à sa chambre, il eu à peine le temps de prendre quelques affaires et de l’argent que les autorités étaient là, sans même avoir le temps de dire adieu, il était parti de l’auberge et depuis ce jour il n’était jamais retourné là bas, en France. Il ne sait ni ce qu’il est advenu de Léna et des autres filles, ni même de ce propriétaire. Il avait dû marcher des jours sans se faire voir car, un inconnu qui passe de village en village c’était exactement le profil recherché pour être inculpé des meurtres, c’est en général dans les forêts qu’il trouvait refuge bien que les premières semaines il avait peiné à se débrouiller pour trouver à manger, il avait vite mit à contribution ses instincts de chasseurs nés à contribution pour pouvoir se nourrir.
Quelques mois après sa fuite, il ne trouvait même près des frontières scandinaves, le froid, la famine étaient le quotidien des mortels mais pas celui de Roman qui vivait toujours dans la nature, ne sachant ni parler leur langage et il ne connaissait pas l’endroit. Jusqu’à ce qu’un groupe d’hommes et de femmes le trouve, au début Roman n’avait pas vraiment remarqué leur présence mais c’est leur odeur qui les trahit et bien qu’au début ils étaient très silencieux Roman sentait comme une forme de connexion entre eux et avec lui qu’ils essayaient d’établir. Patiemment ils avaient attendus une pleine lune et c’est à ce moment-là qu’ils avaient frappés et réussit à attraper Roman pour l’emmener dans leur village. Il n’avait rien vu venir connaissant que très peu la condition des Fenrirs. Eux en revanche connaissaient que trop peu leur origine : ils avaient menottés de toute part le jeune Fenrir, des chaînes plus solides que d’usuel, privé de lumière et donc de la pleine lune, des éléments qui l’entourait. Il ne pouvait pas communiquer avec eux et même si leur hurlait qu’il n’était pas là pour ce qu’ils pensaient -bien qu’il n’avait aucune idée de ce qu’ils pensaient en réalité- il avait dû patienter quatre longs mois, enchaîné mais nourrit, maintenu en vie, apprenant un ou deux mois à la volée à force de les entendre. Il avait d’ailleurs développé son ouïe en faisant ça, les écouter, apprendre à reconnaître leur démarche, leur respiration, les odeurs.
Ce n’est qu’une fois libéré qu’il comprit pourquoi quatre mois, pourquoi ils l’avaient isolés, pourquoi ils n’avaient pas dit un mot, relâché en pleine lune les sens de Roman étaient affolé bien que toujours conscient et en pleine possession de ses moyens il pouvait enfin sortir de sa prison enterré. Il ne s’était jamais senti aussi vivant que cette nuit-là et malgrés le fait que son souhait le plus cher avant de sortir de cette pièce avait été de quitter les lieux à la minute près, il décida de rester : ses chances de survies étaient bien plus élevés avec des gens de sa condition.
Il lui fallu quelques mois pour apprendre à parler très sommairement le Norvégien, pour se faire comprendre il avait appris des mots essentiels et des expressions mais il était encore très loin de le savoir parler couramment et le lire c’était encore une toute autre histoire. Ces gens qui l’avait recueilli,  le traitait encore comme un étranger il ne mangeait pas avec eux et ne partageait pas grand chose avec eux non plus. Il n’avait pas non plus le droit de toucher à leur précieux savoir, de toute façon écrit en Norvégien.
Ce n’est qu’après trois ans de cohabitation qu’ils lui faisaient assez confiance pour leur transmettre leur savoir, Roman parlait maintenant couramment le Norvégien, il maîtrisait relativement bien l'écrit même s’il faisait encore quelques fautes il était plus proche d’un habitant intégré qu’un étranger. Il avait également apprit beaucoup des Fenrir et notamment leur origine, leur capacités, leur faiblesses même si une très grande zone d’ombre régnait sur un sujet l'imprégnation. Même s’il avait réussi à prendre une place par mis, et même s’ils avaient eux plus de connaissance que Roman n’aurait jamais pu avoir, ils n’étaient pas au courant de tout et l'imprégnation était un mystère qu’aucun n’avait réussi à résoudre même si l’un d’eux s’était imprégné il était aujourd'hui mort puisqu’elle, son imprégnée avait tragiquement décédé quelques années avant l’arrivée de Roman. Le plus vieux avait 250 ans et n’avait pas encore trouvé son imprégné et, selon eux il était très courant qu’un Fenrir ne le trouve jamais même si 300 ans semblait énorme pour pouvoir le ou la trouver, ça n’était pas assez visiblement pour trouver l'unique.




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